Du sens à la vie 

Vous sentez cette envie soudaine de faire le tri ? Pas seulement dans les placards… mais dans vos pensées, vos relations, vos fantasmes et même vos textos ? C’est normal : la Nouvelle Lune entre en Vierge, et elle vient avec sa valise de règles, d’ordres, et de pincoteries sentimentales.

Pourquoi le all inclusive flingue le cerveau ? Parce que les relations où tout est “à volonté” (je t’aime, promesses, attentions) bombardent le cerveau de dopamine. 🎢 Au début ça plane, ensuite ça s’écrase. Comme un lendemain de cuite. 👉 Trop de dopamine = dépendance affective. 👉 Promesses non tenues = alarme rouge dans l’amygdale (la zone du stress). 👉 Attente déçue = migraine émotionnelle garantie. Bref, notre cerveau n’aime pas les buffets trompe-l’œil. Il préfère un m

On a tous cette amie (ou ce miroir, soyons honnêtes) qui tombe toujours amoureuse du même profil : celui qui séduit, blesse, disparaît… puis revient avec un sourire d’ange. Et nous, hypnotisés, on retombe. Pourquoi ? Yann Lecoq

Le problème du recyclage sentimental On rejoue le même scénario (et on connaît déjà la fin). On gaspille notre énergie émotionnelle pour “réparer” quelqu’un qui ne veut pas changer. On retarde notre vraie rencontre, celle qui aurait pu nous faire vibrer pour de bon. 💡 Solutions pour sortir du cycle Mettre un STOP clair Un ex qui revient “juste pour prendre des nouvelles” veut rarement juste des nouvelles. Répondez sobrement, sans rallumer le feu (ou pas du tout. Yann Lecoq

15 août — Lever les yeux ✨ Il y a toujours, quelque part, une main invisible qui relève, un souffle qui pousse, un regard qui dit : « Tu peux encore t’élever. » Et parfois…cette main, ce souffle, ce regard, c’est nous. Être choisi par la vie, c’est aussi choisir de cultiver la lumière : un geste de bonté, une parole qui répare, un amour qui ne calcule pas. On ne s’élève pas par hasard, on s’élève parce qu’on entretient le morceau de ciel qu’on porte en nous.

Ah… l’amour. Ce doux piège où l’on croit que “fusionner” veut dire “exister à deux”. Sauf qu’à force de fusionner, on finit parfois… en purée. Au début, c’est mignon : On aime ce qu’il aime. On mange ce qu’il mange. On rit des mêmes blagues (même quand elles sont nulles). Et puis, un jour, on se surprend à dire « Moi aussi j’adore la pêche à la mouche » alors qu’on a le mal de mer rien qu’en regardant un pédalo.

🔍 Pour aller plus loin : Quand vouloir plaire nous fait perdre qui nous sommes Il y a une frontière fine entre s’ouvrir à l’autre et se dissoudre en lui. Quand on cherche trop à plaire, on glisse parfois dans un terrain dangereux : celui où nos goûts, nos habitudes et même nos valeurs se modèlent sur l’autre… jusqu’à oublier les nôtres. 💡 Le risque ? Perte identitaire : on se surprend à ne plus savoir ce qu’on aime vraiment, ou à douter de nos envies. Yann Lecoq

Une réaction à ma story à 19h43. Des émojis, des gifs, parfois même un vocal de 16 secondes. Et moi, là-dedans ? Je suis une influenceuse du cœur non monétisée. Disponible. Drôle. Réactive. Mais jamais… vue. 📦 Est-ce que je suis en lien ? Ou est-ce que je fais du service client affectif premium sans contrat ? Parce que ça commence à ressembler à un abonnement. 📱 Forfait “présence constante mais corps absent”. 👻 Engagement zéro. 🔒 Sentiment flou avec eff

Retours de terrain. Vérifiés. Validés. Et souvent affligeants. Je suis voyant. Et hétéro. Donc non, je ne parle pas de mon dernier date en festival chamanique. Je parle de vous, mes consultantes. Celles qui arrivent avec un regard digne d’un western intérieur et qui me lâchent : “Il veut une relation libre.” Et là, je sais. Je sais qu’on va devoir traduire ensemble. Parce que “libre” dans sa bouche, c’est souvent le mot poli pour dire : “Je veux le confort du couple