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💔 Pourquoi les personnes qui me plaisent me détruisent… et celles qui m’aiment m’ennuient ?


Pourquoi les personnes qui me plaisent me détruisent… et celles qui m’aiment m’ennuient

Il y a des réalités qu’on n’ose pas trop formuler à voix haute. Des vérités honteuses, presque absurdes, mais qui ont l’élégance d’être… viscérales.

Celle-ci, par exemple :

Pourquoi est-ce que ceux qui me plaisent me brisent… et ceux qui m’aiment m’indiffèrent ?

🎢 Le grand huit émotionnel


On connaît cette sensation. Le cœur s'emballe pour quelqu’un de fuyant, d’inconstant, d’indisponible. Chaque regard devient un shoot. Chaque silence, un manque.


Et puis, l’autre. Celui qui nous aime. Qui répond, qui est là. Mais dont la présence… lasse.

Pourquoi ?

Est-ce le drame qui nous excite ? Ou bien avons-nous appris, quelque part en nous, que l’amour devait se mériter dans la douleur ?


🧠 Addiction ou attachement ?


Ce qu’on appelle "attirance", parfois, n’est qu’une reconnaissance inconsciente d’un schéma qu’on connaît par cœur.

Un parent distant ? Un amour passé chaotique ?On rejoue les mêmes pièces, encore et encore, avec l’espoir de réécrire la fin.

Sauf que ça ne marche jamais. Parce que le rôle principal est toujours confié au mauvais acteur : l’autre.


🔮 Le piège de l’intensité


Ceux qui nous plaisent nous consument… parce qu’ils font vibrer nos zones d’ombre. Ils réveillent notre peur de l’abandon, notre besoin d’être vu, notre fêlure du “pas assez”.


Ils ne nous aiment pas mieux. Ils réactivent ce qu’on a appris à confondre avec l’amour.


Et ceux qui nous aiment ? Ils sont parfois juste “trop sains”, “trop stables”… pour un cœur qui cherche encore à saigner pour se sentir vivant.


🪞Le saboteur intérieur


Quand on s’ennuie avec ceux qui nous aiment, ce n’est pas eux qu’on rejette. C’est la paix qu’on ne sait pas encore habiter.

On croit que l’amour doit faire mal pour exister. Que le frisson est la preuve du lien. Alors on s’auto-sabote. On fuit. On s’éloigne. On provoque.

Comme si le confort affectif réveillait en nous… un profond inconfort identitaire.

🌙 Et si on changeait de boussole ?

La bonne question, ce n’est pas :

Pourquoi est-ce que je n’aime pas ceux qui m’aiment ? Mais plutôt : Pourquoi est-ce que je ne m’aime que dans le regard de ceux qui ne me choisissent pas ?

💌 Conclusion intuitive


Ce n’est pas que l’amour sain est ennuyeux. C’est qu’il ne provoque pas assez d’insécurité pour réveiller nos vieux démons.

Mais il y a une paix, une profondeur, une stabilité sacrée…qui attend patiemment qu’on soit prêt à l’accueillir. Et cette paix, elle commence toujours par soi.


✨ Pour aller plus loin…

Si cet article t’a remué, c’est que quelque chose en toi est prêt à se transformer. Peut-être est-ce le moment d’éclairer tes schémas invisibles ?

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